« previous article table of contents next article »
DU GENRE NOTIDANUS
© ETH-Bibliothek Zürich, Alte Drucke
Vol. 3, Tab. Q. fig. 6.
Les tubes calcifères sont si fins, si serrés, et forment un feutre tellement inextricable, qu'il est impossible de poursuivre même les réseaux des canaux médullaires. Les tubes de l'émail sont moins serrés et tant soit peu parallèles.
Fig. 6 montre une coupe verticale d'une dent du Notidanus primigenius.