Rostroraja olisiponensis
(Jonet, 1968)
Classification: Elasmobranchii Rajiformes Rajidae
Reference of the original description
Notes d'Ichthyologie miocène portugaise. V - Quelques Batoïdes. Revista da Faculdade de Ciências da Universidade de Lisboa, 15(2), 233–258
Notes d'Ichthyologie miocène portugaise. V - Quelques Batoïdes. Revista da Faculdade de Ciências da Universidade de Lisboa, 15(2), 233–258
Synonyms / new combinations and misspellings
Dipturus aff. olisiponensis, Dipturus olisiponensis, Narcine olisiponensis, Raja aff. olisiponensis, Raja olisiponensis, Raja (Rostroraja) aff. olisiponensis, Rostroraja aff. olisiponensis
Dipturus aff. olisiponensis, Dipturus olisiponensis, Narcine olisiponensis, Raja aff. olisiponensis, Raja olisiponensis, Raja (Rostroraja) aff. olisiponensis, Rostroraja aff. olisiponensis
Types
Rostroraja olisiponensis
Rostroraja olisiponensis
Description:
Citation: Rostroraja olisiponensis (Jonet, 1968): In: Database of fossil elasmobranch teeth www.shark-references.com, World Wide Web electronic publication, Version 11/2025
Please send your images of "Rostroraja olisiponensis" to info@shark-references.com
Rostroraja olisiponensis (Jonet, 1968), Upper Mica Clay, Astarte gleuei-Biozone, Upper Langenfeldian regional stage, early Tortonian, late Miocene; clay pit "Ohle & Lau", Groß Pampau, Schleswig-Holstein, N Germany; coll. K. Hoedemakers, Mortsel, Belgium, © T. Reinecke, Bochum
Rostroraja olisiponensis (Jonet, 1968), Upper Mica Clay, Astarte gleuei-Biozone, Upper Langenfeldian regional stage, early Tortonian, late Miocene; clay pit "Ohle & Lau", Groß Pampau, Schleswig-Holstein, N Germany; coll. K. Hoedemakers, Mortsel, Belgium, © T. Reinecke, Bochum
Description
Original description after Jonet, 1968 [1231]:Narcine olisiponensis nov..sp. (Pl. I, figs. 7-a, 7-b, 7-c, 9, 10 et Il) Matériel: 4 petites dents recueillies au Tortonien VII-a (Caparica et Mutela) et dont la plus grande a 4 mm de longueur totale pour 3 mm de large.
La dent se compose d'une couronne émaillée et lisse formée d’une base et d’une cuspide recourbée ainsi que d’une racine fortement désaxée vers l'arrière.
La base de la couronne surplombe la racine sur tout son pourtour mais surtout à l'avant, où elle s'indine quelque peu en formant un léger bourrelet. Comme on peut l'observer dans les espèces modernes, cette base a un contour variable selon la position de la dent sur la mâchoire, Elle est généralement ovalaire avec le bord antérieur rectiligne. Cette base porte en son centre une cuspide plus ou moins longue, recourbée vers l'arrière et dépassant son bord interne. La cuspide débute au bord antérieur de la face orale et prend appui sur la moitié de la surface de celle-ci. En profil, la face externe (antérieure) de la couronne est fort convexe, surtout en son milieu, tandis que la face interne, presque droite près de la pointe, s'arrondit fortement à la base. En section, la face externe est beaucoup plus convexe que l'autre, dont elle peut être séparée par une arête bien visible. La cuspide est longue et a une pointe plus ou moins aigüe suivant la position de la dent sur la mâchoire, les dents antérieures et médianes étant les plus longues et les plus effilées.
La racine, bien développée, est reportée vers l'arrière, donc vers l'intérieur de la gueule. Oblique sur la face basilaire de la couronne, elle occupe plus des deux tiers de la partie postérieure de celle-ci et sa hauteur est d'environ un tiers de la hauteur totale. La face basilaire de la racine est divisée en deux lobes assez grands par un profond sillon qui entaille ses bords antérieur et postérieur. Chacun de ces lobes, dirigé latéralement en oblique et dont la base est légèrement concave, est verticalement divisé en deux par une petite dépression entaillant également le milieu de leur bord externe (fig. 2-b). La moitié antéro-externe de chacun des lobes déborde latéralement la face orale, à l'encontre de ce que l'on observe chez d'autres Batoïdes où, en plan, la face orale couvre toute la racine.
L'on serait tenté d'attribuer ces dents au genre Raja, dont les individus mâles de diverses espèces modernes ont des dents quelque peu semblables. Les différences sont toutefois sensibles. La couronne des dents décrites a une autre forme : plus allongée, à base plus mince, elle a une section ovalaire ou même circulaire, tandis que, chez Raja, la face antérieure de la couronne est presque plate.
Mais la grande différence réside dans la racine. Chez Raja, les deux lobes de la racine sont plus ou moins ovalaires ou en triang le à coins arrondis et leur coté externe ne déborde pas la base de la face orale. De plus, les cotés internes longeant le sillon médian sont sensiblement rectilignes et parallèles. Aux dents présentées, par contre, les deux lobes de la racine sont fortement chauf rênes vers le milieu de leur bord externe, qui déborde les Cotés latéraux de la face basilaire de la couronne. Ceci est surtout accentué aux dents médianes (Pl. 1, fig. 9). D'autre part. les côtés internes des lobes de la racine, déjà divergents dans leur partie postérieure, s'écartent de plus en plus vers l'avant (fig. 2-b).
La structure de la racine est également toute autre que celle des genus Rhynchobatus, Rhinobatus ou Dasyatis, dont la couronne est d'ailleurs bien différente.
Ces dents ne peuvent donc appartenir qu'à la famille des Torpedinidae et parmi ceux-ci, qu'au genre Narcine. Ce genre, représenté dans la nature actuelle par l'espèce Narcine brasiliensis, est peu connu à l'état fossile. O. HASSE lui attribue des vertèbres isolées rencontrées dans le Lutétien inférieur (Bruxellien) de Belgique. En 1894, O. JAEKEL a décrit un Torpédinae de l’Eocène du Monte Bolca (Italie), auquel il donna le nom de Narcine molini. Enfin, MOLIN considérait que le Torpedo () BLAINVILLE, de l’Éocène du Monte Bolca, devait être considèré comme appartenant également au genre Narcine.
Comme on le voit, le genre Narcine n'était jusqu'à présent connu que de l'Éocène. C'est la première fois qu'il est signalé au Miocène par une espèce à laquelle je donnerais le nom d'olisiponensis, du nom, latin de Lisbonne : Olisipo.
Diagnose: La base de la couronne généralement ovalaire. surplombe la racine sur tout son pourtour et porte en son centre une cuspide arrondie, assez longue, obtuse, recourbée vers l'arrière et dépassant le bord interne. La racine, reportée vers l'intérieur est divisée en deux lobes légèrement concaves par un profond sillon à bords divergents. La partie antéro-externe de la racine déborde latéralement la face orale tandis que ses faces latérales sont divisées verticalement par une petite dépression entaillant leur bord basilaire.
Original description after Jonet, 1968 [1231]:Narcine olisiponensis nov..sp. (Pl. I, figs. 7-a, 7-b, 7-c, 9, 10 et Il) Matériel: 4 petites dents recueillies au Tortonien VII-a (Caparica et Mutela) et dont la plus grande a 4 mm de longueur totale pour 3 mm de large.
La dent se compose d'une couronne émaillée et lisse formée d’une base et d’une cuspide recourbée ainsi que d’une racine fortement désaxée vers l'arrière.
La base de la couronne surplombe la racine sur tout son pourtour mais surtout à l'avant, où elle s'indine quelque peu en formant un léger bourrelet. Comme on peut l'observer dans les espèces modernes, cette base a un contour variable selon la position de la dent sur la mâchoire, Elle est généralement ovalaire avec le bord antérieur rectiligne. Cette base porte en son centre une cuspide plus ou moins longue, recourbée vers l'arrière et dépassant son bord interne. La cuspide débute au bord antérieur de la face orale et prend appui sur la moitié de la surface de celle-ci. En profil, la face externe (antérieure) de la couronne est fort convexe, surtout en son milieu, tandis que la face interne, presque droite près de la pointe, s'arrondit fortement à la base. En section, la face externe est beaucoup plus convexe que l'autre, dont elle peut être séparée par une arête bien visible. La cuspide est longue et a une pointe plus ou moins aigüe suivant la position de la dent sur la mâchoire, les dents antérieures et médianes étant les plus longues et les plus effilées.
La racine, bien développée, est reportée vers l'arrière, donc vers l'intérieur de la gueule. Oblique sur la face basilaire de la couronne, elle occupe plus des deux tiers de la partie postérieure de celle-ci et sa hauteur est d'environ un tiers de la hauteur totale. La face basilaire de la racine est divisée en deux lobes assez grands par un profond sillon qui entaille ses bords antérieur et postérieur. Chacun de ces lobes, dirigé latéralement en oblique et dont la base est légèrement concave, est verticalement divisé en deux par une petite dépression entaillant également le milieu de leur bord externe (fig. 2-b). La moitié antéro-externe de chacun des lobes déborde latéralement la face orale, à l'encontre de ce que l'on observe chez d'autres Batoïdes où, en plan, la face orale couvre toute la racine.
L'on serait tenté d'attribuer ces dents au genre Raja, dont les individus mâles de diverses espèces modernes ont des dents quelque peu semblables. Les différences sont toutefois sensibles. La couronne des dents décrites a une autre forme : plus allongée, à base plus mince, elle a une section ovalaire ou même circulaire, tandis que, chez Raja, la face antérieure de la couronne est presque plate.
Mais la grande différence réside dans la racine. Chez Raja, les deux lobes de la racine sont plus ou moins ovalaires ou en triang le à coins arrondis et leur coté externe ne déborde pas la base de la face orale. De plus, les cotés internes longeant le sillon médian sont sensiblement rectilignes et parallèles. Aux dents présentées, par contre, les deux lobes de la racine sont fortement chauf rênes vers le milieu de leur bord externe, qui déborde les Cotés latéraux de la face basilaire de la couronne. Ceci est surtout accentué aux dents médianes (Pl. 1, fig. 9). D'autre part. les côtés internes des lobes de la racine, déjà divergents dans leur partie postérieure, s'écartent de plus en plus vers l'avant (fig. 2-b).
La structure de la racine est également toute autre que celle des genus Rhynchobatus, Rhinobatus ou Dasyatis, dont la couronne est d'ailleurs bien différente.
Ces dents ne peuvent donc appartenir qu'à la famille des Torpedinidae et parmi ceux-ci, qu'au genre Narcine. Ce genre, représenté dans la nature actuelle par l'espèce Narcine brasiliensis, est peu connu à l'état fossile. O. HASSE lui attribue des vertèbres isolées rencontrées dans le Lutétien inférieur (Bruxellien) de Belgique. En 1894, O. JAEKEL a décrit un Torpédinae de l’Eocène du Monte Bolca (Italie), auquel il donna le nom de Narcine molini. Enfin, MOLIN considérait que le Torpedo (
Comme on le voit, le genre Narcine n'était jusqu'à présent connu que de l'Éocène. C'est la première fois qu'il est signalé au Miocène par une espèce à laquelle je donnerais le nom d'olisiponensis, du nom, latin de Lisbonne : Olisipo.
Diagnose: La base de la couronne généralement ovalaire. surplombe la racine sur tout son pourtour et porte en son centre une cuspide arrondie, assez longue, obtuse, recourbée vers l'arrière et dépassant le bord interne. La racine, reportée vers l'intérieur est divisée en deux lobes légèrement concaves par un profond sillon à bords divergents. La partie antéro-externe de la racine déborde latéralement la face orale tandis que ses faces latérales sont divisées verticalement par une petite dépression entaillant leur bord basilaire.
Remarks
shark-references Species-ID=11204;
valid after Szabó et al. (2022) p. 25 [31392]; Szabó (2024) p. 187 [33635];
shark-references Species-ID=11204;
valid after Szabó et al. (2022) p. 25 [31392]; Szabó (2024) p. 187 [33635];
References
Fossil chondrichthyans of the Carpathian-Pannonian Region (in Hungarian: A Kárpát-Pannon-térség fosszilis porcoshalai). Hungarian Natural History Museum, Dabasi Nyomda Zrt., Budapest. 255 pages, ISBN 978-963-9877-52-8
Chondrichthyan (Holocephali, Squalomorphii and Batomorphii) remains from the Badenian of southern Hungary (Tekeres, Mecsek Mountains): the first deepwater cartilaginous fishes from the Middle Miocene of the Central Paratethys. Papers in Palaeontology, 8(6), Article e1471
DOI: 10.1002/spp2.1471
Fossil Chondrichthyes from the Neogene of Portugal: Diversity and Occurrence. Anuário do Instituto de Geociências, 44, Article 43395
DOI: 10.11137/1982-3908_2021_44_43395
Remarkable multicuspid teeth in a new elusive skate (Chondrichthyes, Rajiformes) from the Mediterranean Pliocene. Paläontologische Zeitschrift, 95, 117–128
DOI: 10.1007/s12542-020-00542-7
Langhian rays (Chondrichthyes, Batomorphii) from Brielas, Lower Tagus Basin, Portugal. Geologica Acta, 17(7), 1-16
DOI: 10.1344/GeologicaActa2019.17.7
Fossilien sammeln im Miozän von Groß Pampau im Kreis Herzogtum Lauenburg (Schleswig-Holstein). Der Steinkern, 31, 72–77
Elasmobranchii in de ontsluiting aan de luchthaven te Borsbeek (prov. Antwerpen, België) Afzettingen WTKG, 36(1), 12–19
Miocene Shark and Batoid Fauna from Nosy Makamby (Mahajanga Basin, Northwestern Madagascar). PLoS ONE, 10(6), Article e0129444
DOI: 10.1371/journal.pone.0129444
Los Rajiformes (Chondrichthyes, Batomorphii) del Plioceno Inferior de la Formación Arenas de Huelva, Suroeste de España. Ameghiniana, 51(3), 259–265
DOI: 10.5710/AMGH.14.01.2014.608
The Rajiforms (Chondrichthyes, Batomorphii) from the Lower Pliocene of Arenas de Huelva Formation, South West of Spain. Ameghiniana, 51(3), 259–265
DOI: 10.5710/AMGH.14.01.2014.608
Pisces. In Piller, W.E. (ed.) Catalogus Fossilium Austriae, Band 3 - Verlag der Österreichischen Akademie der Wissenschaften, Wien, ISBN13: 978-3-7001-7238-3, 576 pp.
Miocene Chondrichthyes from Winterswijk - Miste, the Netherlands. Palaeontos, 21, 1–136
The elasmobranch fauna of the late Burdigalian, Miocene, at Werder-Uesen, Lower Saxony, Germany, and its relationships with Early Miocene faunas in the North Atlantic, Central Paratethys and Mediterranean. Palaeontos, 20, 1–170
Ictiofauna del Mioceno superior del Suroeste de la Cuenca del Guadalquivir (Suroeste de España) [Abstract]. In XII Congreso Nacional de Paleontología. Comunicación Oral. Puebla, Mexico: 61
Fish teeth from the Middle Miocene of Kienberg at Mikulov, Czech Republic, Vienna Basin. Annalen des Naturhistorischen Museums in Wien, Series A, 112, 489–506
Elasmobranchii In Die Fauna des marinen Miozäns von Kevelaer (Niederrhein): Vol: 5: Vertebraten, Elasmobranchii, Otolithen: 968ff
Inventaire des Élasmobranches (requins, raies, chimères) des dépôts molassiques du Sud-Luberon (Miocène supérieur), à Cabrières d'Aigues (Vaucluse) France. Courriers scientifiques du Parc Régional du Lubéron, Hors Série, 1–100
Systematic, paleoecologic and paleobiogeographic analysis of the Plio-Pleistocene Mediteranean elasmobranch fauna. Atti Societa Toscana Scienze Naturali, Serie A, 113: 81–88
Rajiformes (Neoselachii, Batomorphii) from the Alvalade basin, Portugal. Annales de Paleontologie, 93(2), 107–119
Les sélaciens du Pliocène de la région d'Alba (Piémont, Italie Nord-Ouest). Rivista Piemontese di Storia Naturale, 27, 261–304
Sélaciens du Miocène terminal du Bassin d'Alvalade (Portugal). Essai de synthèse. Ciências da Terra (UNL), 13, 115–129
Les sélaciens du Pliocène inférieur de Le-Puget-sur-Argens (Sud-Est de la France). Palaeontographica, Abt. A, 218(1–3), 49–67
Vertébrés (crocodiliens, poissons) du Miocène marin de l'Argarve occidentale. Ciências da Terra (UNL), 6, 9–38
Le Tortonien supérieur (TVII-b) des environs de Fonte de Telha (Peninsule de Setubal) et ses faunes. Comunicações dos Serviços Geológicos de Portugal, 63, 13–51
Les Sélaciens miocènes du Midi de la France. Répartitions stratigraphique et bathymétrique. 3ème Réunion annuelle des Sciences de la Terre, Montpellier: 90
Notes d'Ichthyologie miocène portugaise. V - Quelques Batoïdes. Revista da Faculdade de Ciências da Universidade de Lisboa, 15(2), 233–258

Fossil chondrichthyans of the Carpathian-Pannonian Region (in Hungarian: A Kárpát-Pannon-térség fosszilis porcoshalai). Hungarian Natural History Museum, Dabasi Nyomda Zrt., Budapest. 255 pages, ISBN 978-963-9877-52-8
Chondrichthyan (Holocephali, Squalomorphii and Batomorphii) remains from the Badenian of southern Hungary (Tekeres, Mecsek Mountains): the first deepwater cartilaginous fishes from the Middle Miocene of the Central Paratethys. Papers in Palaeontology, 8(6), Article e1471
DOI: 10.1002/spp2.1471
Fossil Chondrichthyes from the Neogene of Portugal: Diversity and Occurrence. Anuário do Instituto de Geociências, 44, Article 43395
DOI: 10.11137/1982-3908_2021_44_43395
Remarkable multicuspid teeth in a new elusive skate (Chondrichthyes, Rajiformes) from the Mediterranean Pliocene. Paläontologische Zeitschrift, 95, 117–128
DOI: 10.1007/s12542-020-00542-7
Langhian rays (Chondrichthyes, Batomorphii) from Brielas, Lower Tagus Basin, Portugal. Geologica Acta, 17(7), 1-16
DOI: 10.1344/GeologicaActa2019.17.7

Fossilien sammeln im Miozän von Groß Pampau im Kreis Herzogtum Lauenburg (Schleswig-Holstein). Der Steinkern, 31, 72–77

Elasmobranchii in de ontsluiting aan de luchthaven te Borsbeek (prov. Antwerpen, België) Afzettingen WTKG, 36(1), 12–19
Miocene Shark and Batoid Fauna from Nosy Makamby (Mahajanga Basin, Northwestern Madagascar). PLoS ONE, 10(6), Article e0129444
DOI: 10.1371/journal.pone.0129444

Los Rajiformes (Chondrichthyes, Batomorphii) del Plioceno Inferior de la Formación Arenas de Huelva, Suroeste de España. Ameghiniana, 51(3), 259–265
DOI: 10.5710/AMGH.14.01.2014.608

The Rajiforms (Chondrichthyes, Batomorphii) from the Lower Pliocene of Arenas de Huelva Formation, South West of Spain. Ameghiniana, 51(3), 259–265
DOI: 10.5710/AMGH.14.01.2014.608

Pisces. In Piller, W.E. (ed.) Catalogus Fossilium Austriae, Band 3 - Verlag der Österreichischen Akademie der Wissenschaften, Wien, ISBN13: 978-3-7001-7238-3, 576 pp.

Miocene Chondrichthyes from Winterswijk - Miste, the Netherlands. Palaeontos, 21, 1–136

The elasmobranch fauna of the late Burdigalian, Miocene, at Werder-Uesen, Lower Saxony, Germany, and its relationships with Early Miocene faunas in the North Atlantic, Central Paratethys and Mediterranean. Palaeontos, 20, 1–170
Ictiofauna del Mioceno superior del Suroeste de la Cuenca del Guadalquivir (Suroeste de España) [Abstract]. In XII Congreso Nacional de Paleontología. Comunicación Oral. Puebla, Mexico: 61

Fish teeth from the Middle Miocene of Kienberg at Mikulov, Czech Republic, Vienna Basin. Annalen des Naturhistorischen Museums in Wien, Series A, 112, 489–506

Elasmobranchii In Die Fauna des marinen Miozäns von Kevelaer (Niederrhein): Vol: 5: Vertebraten, Elasmobranchii, Otolithen: 968ff

Inventaire des Élasmobranches (requins, raies, chimères) des dépôts molassiques du Sud-Luberon (Miocène supérieur), à Cabrières d'Aigues (Vaucluse) France. Courriers scientifiques du Parc Régional du Lubéron, Hors Série, 1–100
Systematic, paleoecologic and paleobiogeographic analysis of the Plio-Pleistocene Mediteranean elasmobranch fauna. Atti Societa Toscana Scienze Naturali, Serie A, 113: 81–88

Rajiformes (Neoselachii, Batomorphii) from the Alvalade basin, Portugal. Annales de Paleontologie, 93(2), 107–119

Les sélaciens du Pliocène de la région d'Alba (Piémont, Italie Nord-Ouest). Rivista Piemontese di Storia Naturale, 27, 261–304
Sélaciens du Miocène terminal du Bassin d'Alvalade (Portugal). Essai de synthèse. Ciências da Terra (UNL), 13, 115–129

Les sélaciens du Pliocène inférieur de Le-Puget-sur-Argens (Sud-Est de la France). Palaeontographica, Abt. A, 218(1–3), 49–67
Vertébrés (crocodiliens, poissons) du Miocène marin de l'Argarve occidentale. Ciências da Terra (UNL), 6, 9–38

Le Tortonien supérieur (TVII-b) des environs de Fonte de Telha (Peninsule de Setubal) et ses faunes. Comunicações dos Serviços Geológicos de Portugal, 63, 13–51

Les Sélaciens miocènes du Midi de la France. Répartitions stratigraphique et bathymétrique. 3ème Réunion annuelle des Sciences de la Terre, Montpellier: 90

Notes d'Ichthyologie miocène portugaise. V - Quelques Batoïdes. Revista da Faculdade de Ciências da Universidade de Lisboa, 15(2), 233–258









