Eugaleus latus
(Storms, 1894)
Classification: Elasmobranchii Carcharhiniformes Triakidae
Reference of the original description
Troisième note sur les poissons du terrain rupélien. Bulletin de la Société Belge de Géologie, de Paléontologie et d'Hydrologie, 8, 67–82
Troisième note sur les poissons du terrain rupélien. Bulletin de la Société Belge de Géologie, de Paléontologie et d'Hydrologie, 8, 67–82
Types
Eugaleus latus
Eugaleus latus
Description:
Citation: Eugaleus latus (Storms, 1894): In: Database of fossil elasmobranch teeth www.shark-references.com, World Wide Web electronic publication, Version 11/2024
Description
Original description after Storms (1894) p. 78-81 [2303] :
Les petites dents de Squale, dont quelques-unes ont été figurées, Pl. VI, fig. 17, sont assez communes dans l'argile rupélienne. Elles présentent toutes, malgré des différences assez considérables de forme, un certain nombre de caractères semblables qui me paraissent devoir les faire rapporter à une même espèce, d'autant plus que l'on trouve parmi elles tous les intermédiaires entre les types extrêmes. Ces dents sont en effet toutes à peu près de la même taille : aucune ne dépassant 12 à 13mm de largeur. Leurs racines sont assez épaisses, généralement allongées et séparées en arrière en deux lobes par une entaille profonde. Leurs couronnes, qui sont recourbées vers l'extérieur, ont les bords internes lisses et tranchants vers le haut et ne portent de dentelures que vers le bas. Les bords externes sont échancrés, et, sous l'échancrure, il y a un certain nombre de dentelures assez fortes, qui vont en décroissant.
Comme nous l'avons dit, ces dents varient considérablement de forme. Celles que j'attribue à la mâchoire supérieure ont un bord interne soit convexe, soit légèrement concave vers le bas et convexe vers le haut. Les unes ont une base allongée, une couronne basse fortement inclinée, un bord interne convexe ; elles passent par toutes les transitions à d'autres ayant des racines plus courtes, à pointes plus redressées et plus longues. Mais ce sont les dentelures du bord interne qui varient le plus.
Chez certaines dents, telle que celle figurée Pl. VI., fig. 17a, elles s'étendent sur plus de la moitié de ce bord ; chez d'autres, comme celle figurée Pl. VI, fig. 17c, elles sont plus fortement développées à la base, mais s'arrêtent brusquement; enfin, chez plusieurs d'entr'elles elles manquent presque complètement. Les dentelures du bord externe diffèrent beaucoup moins. Elles sont beaucoup plus fortes que celles du bord interne et leur nombre varie de 3 à 5. La forme des dentelures elles-mêmes varie aussi, car, non seulement elles peuvent être plus ou moins fortes, plus ou moins aiguës, mais, chez certaines dents, elles présentent une tendance à être elles-mêmes dentelées.
Les dents que j'attribue à la mâchoire inférieure se distinguent par un bord interne concave et presque complètement dépourvu de dentelures, celles-ci étant ou bien confinées au bas de la couronne ou bien manquant tout à fait. Les dentelures du côté externe sont au contraire toujours bien développées. Certaines de ces dents, celles des côtés latéraux des mâchoires (Pl. VI, fig. 17b). ont une racine fort allongée et une couronne assez basse; d'autres, au contraire, ont une racine plus courte et plus épaisse, une couronne plus redressée et plus allongée et ne portent que deux ou trois dentelures du côté externe.
Un examen à la loupe de sections minces de dents des différents types qui viennent d'être décrits montre que, comme chez tous les Carcharidés, elles sont composées de pulpo-dentine.
CLASSIFICATION.
La dent figurée Pl. VI, fig. 17 a, offre beaucoup de ressemblance avec celles représentées Fig. 20, 21, pl. 26, t. III, des Poissons fossiles, et qu'Agassiz rapporte àson Galeocerdo minor, mais qui d'après cet auteur pourrait bien, à cause de sa grandeur, appartenir au Galeocerdo latidens, opinion vers laquelle inclinent plusieurs auteurs plus récents (WINKLER, Beschreibung einiger fossile Tertiär-Fischreste, etc. Arch. Vereins, fr. Naturgesch. Mecklemb. vol. XXIX, 1875, p. 119. DAMES, Über eine tertiär. Wirbelthierfauna von Westlichen Inseln der Birket-el-Qurun. Sitzsb. Berlin, Ak. 1883, p. 49. A. SMITH WOODWARD, Catalogue Fossil Fishes, vol. I, 1889. p. 441). La dent rupélienne se rapproche même davantage de cette dernière espèce par la forme plus allongée de sa racine et sa couronne moins élevée; aussi, si elle s'était trouvée isolée, on aurait été tenté de la rapporter au Galeocerdo latidens. Mais, outre certains caractères qui Môignent de cette espèce, tels que : la forme plus redressée de la couronne, l'absence de dentelures sur une grande partie de ses bords tranchants, et leur nombre beaucoup moins considérable sous l'échancrure, on trouve tous les passages de cette dent, qui est celle qui se rapproche le plus du Galeocerdo latidens à d'autres qui, comme les exemplaires types du Galeocerdo minor d'Agassiz (fig. i5 à 19, tab. 26 et 64-66, tab. 26°) s'éloignent non seulement de l'espèce mentionnée en premier lieu, mais même du type Galeocerdo, pour se rapprocher en partie du genre Galeus. Les caractères donnés par Agassiz pour le Galeocerdo minor. ainsi que les figures qu'il en a publiées correspondent avec ce qui se voit chez les dents du terrain rupélien et c'est, je crois, dans le même genre que cette espèce qu'elles doivent être classées.
Or l'espèce appelée par Agassiz Galeocerdo minor ne se rapporte probablement pas au genre Galeocerdo (SMITH Woodward, Ibid., p. 446), comme le prouvent: a) la variété de formes qu'elles présentent; b) l'absence de dentelures sur une grande partie des bords de la couronne (MÜLLER U. HENLE. Systematische Beschreibung der Plagiostomen, 1841 , p. 59). Aussi, Molin (MOLIN, Primitiae Musei Archigymnasii Batavini 1860. Sitzber. math. nat. Cl. K. Akad, Wien, p. 583) croyant reconnaître que les dents d'un requin fossile du Monte-Bolca étaient tout à fait semblables à celles du Galeocerdo minor d'Agassiz, le rapporta, ainsi que deux autres requins fossiles, à cette espèce et créa pour elle le genre Protogaleus. M. Smith Woodward, qui ne classe l'espèce d'Agassiz qu'avec doute dans le genre Galeocerdo (SMITH WOODWARD, Catalogue of Fossil Fishes, pt. I , 1889 , p. 441), paraît disposé à adopter le genre créé par Molin (SMITH WOODWARD Belgian neozoic fish-teeth, 1891, Geol. Maz. p. 110). Plus récemment Jaekel, dans son grand mémoire sur les Sélaciens du Monte-Bolca (Dr. OTTO JAEKEL Die eocànen Selachier von Monte Bolca. Berlin, 1894, pp. 173-174), dit que Molin a confondu, sous le nom de Protogaleus, deux poissons différents de Monte-Bolca : l'un serait un Galeus Cuvieri Agass., l'autre, celui dont les dents ont été assimilées à celles du Galeocerdo minor Agass., se rapporteraient au genre Alopiopsis Lioy (LIOY Sopra alcuni avanzi dei plagiostom fossili del Vicentino, 1865, Soc. Ital. Sci. Nat., vol. VIII). Aussi Jaekel croit que le nom deProtogaleusdoit être supprimé. Mais, comme Molin paraît avoir eu raison en créant un genre nouveau pour le Galeocerdo minor d'Agassiz, et qu'il a fondé ce genre, en tous les cas en grande partie, sur les dents figurées et décrites par Agassiz et pour lesquelles il ne peut y avoir de confusion, il me semble que le genreProtogaleusdoit être maintenu, même si Galeocerdo minor ne se rapporte pas au même genre que l'espèce de Monte-Bolca.
Nous rapportons donc les petites dents de l'argile rupélienne, ainsi que celles décrites par Agassiz sous le nom de Galeocerdo minor, au genreProtogaleusde Molin. Mais nous croyons qu'elles diffèrent trop pour pouvoir être classées dans la même espèce; les dents dont nous nous occupons ont presque toutes des racines plus allongées, des couronnes plus basses et des dentelures relativement moins fortes que celles de l'espèce d'Agassiz. Aussi nous proposons d'en faire une espèce nouvelle, que nous désignerons parle nom de Protogaleus latus. Protogaleus latus est une espèce assez commune dans l'argile rupélienne supérieure (R2c), spécialement dans les briqueteries de Steendorp.
Original description after Storms (1894) p. 78-81 [2303] :
Les petites dents de Squale, dont quelques-unes ont été figurées, Pl. VI, fig. 17, sont assez communes dans l'argile rupélienne. Elles présentent toutes, malgré des différences assez considérables de forme, un certain nombre de caractères semblables qui me paraissent devoir les faire rapporter à une même espèce, d'autant plus que l'on trouve parmi elles tous les intermédiaires entre les types extrêmes. Ces dents sont en effet toutes à peu près de la même taille : aucune ne dépassant 12 à 13mm de largeur. Leurs racines sont assez épaisses, généralement allongées et séparées en arrière en deux lobes par une entaille profonde. Leurs couronnes, qui sont recourbées vers l'extérieur, ont les bords internes lisses et tranchants vers le haut et ne portent de dentelures que vers le bas. Les bords externes sont échancrés, et, sous l'échancrure, il y a un certain nombre de dentelures assez fortes, qui vont en décroissant.
Comme nous l'avons dit, ces dents varient considérablement de forme. Celles que j'attribue à la mâchoire supérieure ont un bord interne soit convexe, soit légèrement concave vers le bas et convexe vers le haut. Les unes ont une base allongée, une couronne basse fortement inclinée, un bord interne convexe ; elles passent par toutes les transitions à d'autres ayant des racines plus courtes, à pointes plus redressées et plus longues. Mais ce sont les dentelures du bord interne qui varient le plus.
Chez certaines dents, telle que celle figurée Pl. VI., fig. 17a, elles s'étendent sur plus de la moitié de ce bord ; chez d'autres, comme celle figurée Pl. VI, fig. 17c, elles sont plus fortement développées à la base, mais s'arrêtent brusquement; enfin, chez plusieurs d'entr'elles elles manquent presque complètement. Les dentelures du bord externe diffèrent beaucoup moins. Elles sont beaucoup plus fortes que celles du bord interne et leur nombre varie de 3 à 5. La forme des dentelures elles-mêmes varie aussi, car, non seulement elles peuvent être plus ou moins fortes, plus ou moins aiguës, mais, chez certaines dents, elles présentent une tendance à être elles-mêmes dentelées.
Les dents que j'attribue à la mâchoire inférieure se distinguent par un bord interne concave et presque complètement dépourvu de dentelures, celles-ci étant ou bien confinées au bas de la couronne ou bien manquant tout à fait. Les dentelures du côté externe sont au contraire toujours bien développées. Certaines de ces dents, celles des côtés latéraux des mâchoires (Pl. VI, fig. 17b). ont une racine fort allongée et une couronne assez basse; d'autres, au contraire, ont une racine plus courte et plus épaisse, une couronne plus redressée et plus allongée et ne portent que deux ou trois dentelures du côté externe.
Un examen à la loupe de sections minces de dents des différents types qui viennent d'être décrits montre que, comme chez tous les Carcharidés, elles sont composées de pulpo-dentine.
CLASSIFICATION.
La dent figurée Pl. VI, fig. 17 a, offre beaucoup de ressemblance avec celles représentées Fig. 20, 21, pl. 26, t. III, des Poissons fossiles, et qu'Agassiz rapporte àson Galeocerdo minor, mais qui d'après cet auteur pourrait bien, à cause de sa grandeur, appartenir au Galeocerdo latidens, opinion vers laquelle inclinent plusieurs auteurs plus récents (WINKLER, Beschreibung einiger fossile Tertiär-Fischreste, etc. Arch. Vereins, fr. Naturgesch. Mecklemb. vol. XXIX, 1875, p. 119. DAMES, Über eine tertiär. Wirbelthierfauna von Westlichen Inseln der Birket-el-Qurun. Sitzsb. Berlin, Ak. 1883, p. 49. A. SMITH WOODWARD, Catalogue Fossil Fishes, vol. I, 1889. p. 441). La dent rupélienne se rapproche même davantage de cette dernière espèce par la forme plus allongée de sa racine et sa couronne moins élevée; aussi, si elle s'était trouvée isolée, on aurait été tenté de la rapporter au Galeocerdo latidens. Mais, outre certains caractères qui Môignent de cette espèce, tels que : la forme plus redressée de la couronne, l'absence de dentelures sur une grande partie de ses bords tranchants, et leur nombre beaucoup moins considérable sous l'échancrure, on trouve tous les passages de cette dent, qui est celle qui se rapproche le plus du Galeocerdo latidens à d'autres qui, comme les exemplaires types du Galeocerdo minor d'Agassiz (fig. i5 à 19, tab. 26 et 64-66, tab. 26°) s'éloignent non seulement de l'espèce mentionnée en premier lieu, mais même du type Galeocerdo, pour se rapprocher en partie du genre Galeus. Les caractères donnés par Agassiz pour le Galeocerdo minor. ainsi que les figures qu'il en a publiées correspondent avec ce qui se voit chez les dents du terrain rupélien et c'est, je crois, dans le même genre que cette espèce qu'elles doivent être classées.
Or l'espèce appelée par Agassiz Galeocerdo minor ne se rapporte probablement pas au genre Galeocerdo (SMITH Woodward, Ibid., p. 446), comme le prouvent: a) la variété de formes qu'elles présentent; b) l'absence de dentelures sur une grande partie des bords de la couronne (MÜLLER U. HENLE. Systematische Beschreibung der Plagiostomen, 1841 , p. 59). Aussi, Molin (MOLIN, Primitiae Musei Archigymnasii Batavini 1860. Sitzber. math. nat. Cl. K. Akad, Wien, p. 583) croyant reconnaître que les dents d'un requin fossile du Monte-Bolca étaient tout à fait semblables à celles du Galeocerdo minor d'Agassiz, le rapporta, ainsi que deux autres requins fossiles, à cette espèce et créa pour elle le genre Protogaleus. M. Smith Woodward, qui ne classe l'espèce d'Agassiz qu'avec doute dans le genre Galeocerdo (SMITH WOODWARD, Catalogue of Fossil Fishes, pt. I , 1889 , p. 441), paraît disposé à adopter le genre créé par Molin (SMITH WOODWARD Belgian neozoic fish-teeth, 1891, Geol. Maz. p. 110). Plus récemment Jaekel, dans son grand mémoire sur les Sélaciens du Monte-Bolca (Dr. OTTO JAEKEL Die eocànen Selachier von Monte Bolca. Berlin, 1894, pp. 173-174), dit que Molin a confondu, sous le nom de Protogaleus, deux poissons différents de Monte-Bolca : l'un serait un Galeus Cuvieri Agass., l'autre, celui dont les dents ont été assimilées à celles du Galeocerdo minor Agass., se rapporteraient au genre Alopiopsis Lioy (LIOY Sopra alcuni avanzi dei plagiostom fossili del Vicentino, 1865, Soc. Ital. Sci. Nat., vol. VIII). Aussi Jaekel croit que le nom deProtogaleusdoit être supprimé. Mais, comme Molin paraît avoir eu raison en créant un genre nouveau pour le Galeocerdo minor d'Agassiz, et qu'il a fondé ce genre, en tous les cas en grande partie, sur les dents figurées et décrites par Agassiz et pour lesquelles il ne peut y avoir de confusion, il me semble que le genreProtogaleusdoit être maintenu, même si Galeocerdo minor ne se rapporte pas au même genre que l'espèce de Monte-Bolca.
Nous rapportons donc les petites dents de l'argile rupélienne, ainsi que celles décrites par Agassiz sous le nom de Galeocerdo minor, au genreProtogaleusde Molin. Mais nous croyons qu'elles diffèrent trop pour pouvoir être classées dans la même espèce; les dents dont nous nous occupons ont presque toutes des racines plus allongées, des couronnes plus basses et des dentelures relativement moins fortes que celles de l'espèce d'Agassiz. Aussi nous proposons d'en faire une espèce nouvelle, que nous désignerons parle nom de Protogaleus latus. Protogaleus latus est une espèce assez commune dans l'argile rupélienne supérieure (R2c), spécialement dans les briqueteries de Steendorp.
Remarks
shark-references Species-ID=2203;
synonym of Galeus baltringensis after Ihering (1927) p. 482 [1219];
valid after Weiler (1943) p. 81 [2511];
shark-references Species-ID=2203;
synonym of Galeus baltringensis after Ihering (1927) p. 482 [1219];
valid after Weiler (1943) p. 81 [2511];
References
Die Bedeutung der Fischfunde im Rupelton der Tongrube Frauenweiler bei Wiesloch südlich Heidelberg. Zeitschrift der Rheinische Naturforschungsgesellschaft Mainz, 4, 17-26
Die Elasmobranchier des tertiären Nordseebeckens im nordwestdeutschen Bereich. Senckenbergiana Lethaea, 46a, 215–256
Zur Fischfauna des Dobergs bei Bünde in Westfalen. Paläontologische Zeitschrift, 31(3/4), 135–138
Zur Fischfauna des Dobergs bei Bünde in Westfalen. Paläontologische Zeitschrift, 31(3/4), 135–138
DOI: 10.1007/BF02987363
Fischreste aus dem Oberoligozän Nordwestdeutschlands und dem Mittelmiozän von Venlo in Holland. Berichte der Reichsstelle für Bodenforschung, 1943, 74–90
Neue Untersuchungen an mitteloligozänen Fischen Ungarns. Geologica Hungarica, Series Palaeontologica, 15, 1–31
Das Tertiär der Niederlande mit besonderer Berücksichtigung der Selachier-Fauna. Leidsche Geologische Mededelingen, (9), 177–361
Contribution à la paléontologie du bassin oligocène du Haut-Rhin et du territoire de Belfort. Les poissons oligocènes. Sciences Géologiques, Bulletins et Mémoires, 2(2), 117–162
DOI: 10.3406/sgeol.1934.1106
Die Fischfauna der unteren und oberen Meeresmolasse Oberbayerns. Neues Jahrbuch für Mineralogie, Geologie und Paläontologie, Beilage Band 68, Abt. B, Heft 2: 305–352
Beiträge zum Oberrheinischen Fossilkatalog Nr. 7: Revision der Fischfauna des Septarientones von Wiesloch bei Heidelberg. Sitzungsberichte der Heidelberger Akademie der Wissenschaften, Mathematisch–Naturwissenschaftliche Klasse, 11, 3–15
Beiträge zur Kenntnis der tertiären Fische des Mainzer Beckens II. 3. Teil Die Fische des Septarientones. Abhandlungen der hessischen Geologischen Landesanstalt zu Darmstadt, 8, 1–61
Die Bedeutung der Fischfunde im Rupelton der Tongrube Frauenweiler bei Wiesloch südlich Heidelberg. Zeitschrift der Rheinische Naturforschungsgesellschaft Mainz, 4, 17-26
Die Elasmobranchier des tertiären Nordseebeckens im nordwestdeutschen Bereich. Senckenbergiana Lethaea, 46a, 215–256
Zur Fischfauna des Dobergs bei Bünde in Westfalen. Paläontologische Zeitschrift, 31(3/4), 135–138
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Beiträge zum Oberrheinischen Fossilkatalog Nr. 7: Revision der Fischfauna des Septarientones von Wiesloch bei Heidelberg. Sitzungsberichte der Heidelberger Akademie der Wissenschaften, Mathematisch–Naturwissenschaftliche Klasse, 11, 3–15
Beiträge zur Kenntnis der tertiären Fische des Mainzer Beckens II. 3. Teil Die Fische des Septarientones. Abhandlungen der hessischen Geologischen Landesanstalt zu Darmstadt, 8, 1–61